Rapprocher la science officielle et les sciences extranormales – Arnaud COLOMBIER
« Le jour où les scientifiques et médecins accepteront les praticiens des sciences extranormales et travailleront avec eux, la recherche avancera très vite. Les moyens d’investigation des médiums sont bien plus puissants que le meilleur des scanners ou le plus précis des appareils IRM, à condition de poser les bonnes questions…
En France, les choses avancent ou plutôt reculent à petits pas : la crise de la médecine par manque de praticiens, l’incapacité de la médecine à identifier les maladies et à pouvoir proposer des traitements efficaces, à laquelle s’ajoute une méfiance accrue du public vis-à-vis des lobbies du médicament, poussent les gens à se tourner vers ces thérapeutes alternatifs. Mais là aussi il peut y avoir des déceptions car les gens ne connaissent pas les limites de ces techniques ni comment les utiliser. Ces techniques sont dans le collimateur de l’Ordre des médecins qui voudrait les faire interdire. Je pense que depuis des milliers d’années, elles sont le socle de la médecine traditionnelle et ont résisté à l’inquisition, ce n’est pas demain qu’elles disparaitront.

Les témoignages de personnes disant « Je suis allé voir un magnétiseur, ça ne m’a rien fait » font les choux gras des médecins qui justifient l’inefficacité de ces techniques et les considèrent comme de la médecine de foire. Cependant, sur dix patients, pour un d’entre eux qui raconte sa mésaventure à son médecin, neuf personnes qui ont consulté un thérapeute extranormal ont été guéries et n’ont pas témoigné de leur guérison à leur médecin.
La médecine officielle ne devrait pas oublier que les accidents iatrogènes sont responsables de 10 000 morts et 130 000 hospitalisations par an (chiffres de 1997), dont les causes sont dues aux erreurs médicales et aux empoisonnements médicamenteux. Le C*vid n’a rien arrangé : les morts et les handicapés sont légions chez les p!quousés et peu importants chez les « compl°tistes » ou plutôt les personnes éclairées. « Si les plans de diminution de la population mondiale se mettent en place, à terme, la population sera composée en majorité de compl°tistes » dit le père Jules, ironique.
Dans les pays européens comme l’Allemagne ou la Suisse, ou encore le Canada, les techniques alternatives sont beaucoup plus répandues. Probablement que les systèmes de santé dans ces pays sont moins développés ou plus onéreux qu’en France. Pour certaines pathologies, les médecins ou les services hospitaliers envoient ceux qui le souhaitent vers des thérapeutes alternatifs dont l’efficacité est reconnue. Cela se fait encore dans la discrétion et aux risques et périls du patient. Notamment dans les services d’oncologie où un accompagnement par des techniques alternatives atténue les effets secondaires des traitements durs. C’est une manière d’encourager les patients à utiliser toutes les techniques pour augmenter leur combativité vis-à-vis de la maladie.

Concernant les réticences des médecins « officiels » à reconnaître l’efficacité des traitements alternatifs, les problèmes d’égo ne sont pas loin : « Comment une personne de faible connaissance peut avoir une capacité de guérison plus importante que moi qui ai fait 12 ans d’étude? » ou bien « il va me piquer mes clients (et non mes patients) « . Comment ces techniques à base d’imposition des mains sans contact, de recherche d’indices avec un pendule ou une boule de cristal et d’autres simagrées ridicules peuvent être plus efficaces qu’on bon médicament industriel ingurgité par voie buccale ou injecté directement dans les veines ?
Tous les secteurs de la vie courante peuvent avoir recours aux techniques de clairvoyance ou de radiesthésie. La médecine est déjà concernée grâce aux médecines alternatives. Il faut que l’Ordre des médecins s’assoie sur son ego et soit plus ouvert à ces techniques qui les dépassent. Encore faut-il qu’il ne soit pas à la solde de B!g Pharma dont le premier objectif est le profit.
Un médecin de ma famille confirmait ses diagnostics avec son pendule et fit annuler à un grand nombre de patients des opérations chirurgicales inutiles ou des soins lourds. Ce médecin attira le courroux de confrères qui le firent sanctionner. Jamais cependant son diagnostic ne fut mis en défaut.

Dans le domaine de la maintenance, j’ai un ami guérisseur qui travaille avec un mécanicien pour rechercher des pannes mécaniques rebelles sur des voitures ou des motos; son diagnostic est déroutant pour le professionnel car non logique, mais il est toujours couronné de succès.
Dans les entreprises de distribution et d’entretien des réseaux d’eau potable, il n’est pas rare qu’un sourcier fasse partie des équipes techniques pour rechercher des canalisations ou des fuites. Son action est nettement plus fiable que l’emploi d’appareils de détection existants souvent lourds et encombrants à mettre en place. Lors de la création d’un forage, à l’étape de la recherche d’eau en sous-sol, le sourcier est toujours d’une grande efficacité contrairement aux analyses des techniciens géologues spécialisés. Le sourcier peut travailler à distance, sur plan, sans avoir la contrainte d’aller sur le terrain.
Un pompier qui a la capacité de « barrer » les douleurs m’a expliqué qu’il soulage les personnes accidentées durant les interventions.
Dans tous les domaines où l’on a besoin d’avoir des confirmations sur des choix à faire, l’utilisation de ces techniques est profitable. Cela confirme notre intuition dont on doute de la fiabilité par manque d’apprentissage ou de confiance en soi.
Je pense que l’apprentissage des techniques extranormales devrait être fait dès le plus jeune âge, en restant dans une totale neutralité spirituelle. Cela permettrait aux parents d’être attentifs aux capacités extranormales naturelle de leur enfant et à celui-ci de les accepter et de les développer sans crainte.

De même, les chercheurs d’emploi devraient mettre sans hésiter dans leur CV leurs capacités telles que la radiesthésie, le pouvoir de barrer les brûlures, de guérisseur, ainsi que leurs connaissances en Qi-Gong, Taï-Chi, Yoga, etc. Ces aptitudes pourraient séduire un DRH dans les emplois intuitifs, de recherche, de maintenance, de commerciaux ou d’associés aux équipes de secours de l’entreprise par exemple. (Note : si le DHR se moque de vous, c’est qu’il n’est pas très ouvert d’esprit, fuyez!)
Imaginez un bureau d’études ne comprenant que des personnes ayant des capacités extranormales ; cela devrait booster le travail dans la possibilité de trouver de nouvelles solutions plus rapidement, d’innover et de comprendre. Par contre, le mode de management de ce type d’équipe reste à inventer. Mais l’industrie n’est manifestement pas encore mûre pour admettre cela. Pourtant, des économies importantes pourraient être faites en éliminant les solutions peu fiables ou des campagnes de tests inutiles. On ne ferait plus de séances de Brain Storming mais des séances d’Intuition Storming. »
Arnaud COLOMBIER – Physicien
Extrait de son livre L’information, moteur de l’univers – version augmentée (Axitech Inov)


