L’EAU, un vecteur de guérison ? – Arnaud COLOMBIER
« Je rencontre parfois des personnes qui me disent, tout fiers « J’ai ou je fais de l’eau informée » et je leur demande : « informée avec quelle information? ». Le silence s’installe car elles n’ont aucune réponse à apporter si ce n’est de décrire le processus qu’elles ont utilisé mais qui n’apporte pas de réponse sur le type d’information inscrite dans l’eau. Cela revient à dire : « au kiosque à journaux j’ai acheté un papier informé ». Ce qu’on peut appeler un journal ou une revue. Mais la dénomination « papier informé » ne précise pas le type d’information écrite. L’eau est un vecteur d’interface entre les champs informationnels et les champs électromagnétiques.

L’eau a une propriété étonnante de mémorisation d’informations subtiles. On comprend les mécanismes pour écrire dans l’eau et on sait lire dans l’eau en passant par les propriétés de notre cerveau qui est un émetteur-récepteur scalaire/subtil. Par contre, on ne sait pas pourquoi l’eau mémorise des informations et comment cela se produit dans l’intimité des molécules. Notre technologie instrumentale est encore trop peu évoluée pour réaliser des appareils de mesure d’information subtile. Sur ce point, mes recherches avancent…
Dans toutes les régions de France il existe des sources, fontaines ou résurgences aux pouvoirs « magiques », depuis la nuit des temps. La plupart des sources ont des origines celtiques voire préceltiques. Elles sont connues par les anciens et mises en valeur souvent par des petits monuments, bassin ou chapelle, témoins des us et coutumes ancestraux. Leur fréquentation n’est pas nulle, beaucoup de personnes se déplacent encore à notre époque, chaque année, pour boire ou se tremper dans cette eau « sacrée ». Chaque eau guérisseuse a son spectre de pathologies sur laquelle elle est active. Les caractéristiques physico-biochimiques de l’eau n’y sont pour rien. C’est l’information contenue dans l’eau qui est prépondérante dans l’action guérisseuse.
Il existe de multiples sources au pouvoir de guérison reconnu dont la plus célèbre en France se trouve à Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées : la source de Massabielle. Cette source a le spectre de guérison le plus étendu, elle est universelle. Cette caractéristique est prouvée par la diversité des maladies totalement ou partiellement guéries. Les miracles sont bien plus nombreux que ceux reconnus par le bureau des constatations médicales habilité à les identifier. Beaucoup de personnes voient leur santé mentale ou physique améliorée mais restent discrètes sur ce cadeau. L’eau de Lourdes a une autre caractéristique : elle ne perd pas les informations mémorisées avec le temps, sauf si vous la faites bouillir.

S’il existe beaucoup de sources guérisseuses, il n’est pas interdit de trouver des sources empoisonneuses (on parle bien de sources et non pas d’eau stagnante). L’information contenue est faite pour détruire ou rendre malade. La source peut être chargée dans la zone où des rituels avec des sacrifices d’animaux ou d’humains ont été pratiqués. Les médiums ressentent fortement des émotions négatives. Certains voient des entités encore présentes sur ces lieux.
C’est la mémoire informationnelle de l’eau, transmise par les druides ou les chamanes ou par des entités lors de rituels spécifiques qui a une action sur notre métabolisme. Mais chacun de nous est capable d’informer l’eau par des méthodes très simples que nous allons voir. Il faut se poser la question : quelles sont les informations mémorisées ? Sont-elles nécessaires et pertinentes pour mon métabolisme ? Est-ce que je souhaite recevoir ces informations de l’eau ? Si oui, le transfert se fera ; dans le cas contraire, rien n’arrivera. L’utilisation du pendule peut répondre à ces questions ».
Arnaud COLOMBIER – Physicien
Extrait de son livre L’information, moteur de l’univers – version augmentée (Axitech Inov)



