La Médecine Affective – Dr Bernard VIAL

Médecin généraliste, ancien chef de clinique du CHU de Montpellier (France), Bernard VIAL utilise depuis 40 ans le « profil protéique informatisé » : un examen biologique permettant de diagnostiquer objectivement les conflits affectifs humains à l’origine de pathologies. Issue d’une recherche scientifique menée à Lyon au début des années 1980′ (C.E.I.A), la « Médecine Affective » consiste à mettre en correspondance ces conflits avec des remèdes issus des 3 règnes : végétal, minéral, animal. Il est donc possible d’établir un portrait de l’humeur grâce aux images de synthèse des protéines contenues dans le plasma sanguin. Une nouvelle qui a bouleversé le monde médical : « Vous apportez plusieurs nouveautés biologiques, on ne vous le pardonnera pas! » avait confessé un académicien. Cette petite révolution, on la doit à la découverte d’un organe de transmission de l’information dans le sang : le proteion.

« Rien n’existe dans la conscience qui n’ait été d’abord inconscient protéique sanguin ».
Bernard VIAL

Le Proteion est une matière hypersensible qui est affectée, impressionnée, par l’information. D’une surface équivalente à 60 terrains de foot, ce récepteur est présent dans nos 150 000 kms de vaisseaux sanguins. Le cerveau, cible habituelle des sensations et des informations, est un écran de conscience qui ne serait rien sans l’inconscient protéique plasmatique. Les recherches de Bernard VIAL démontrent que les 5 organes des sens communiquent avec le cerveau par une connotation affective issue des protéines du plasma. Il affirme que le sang véhicule notre inconscient émotionnel, une vision scientifique à l’avant-garde des relations corps-esprit, conjuguant physiologie, biologie moléculaire et sciences du traitement de l’information. Ses travaux en phytothérapie médicale, homéopathie et botanique sont publiés régulièrement dans la Revue « Les Cahiers de Biothérapie » (Paris). 

Ce médecin atypique souligne que les scientifiques, les universitaires et les savants font face avec un conservatisme académique bien structuré à trois mouvements : un changement de paradigme, un bouleversement épistémologique, et un saut quantique. Influencée par un clan de conservateurs très actif contre l’homéopathie, l’Académie de Médecine n’admet pas l’analogie établie entre les protéines du plasma et les teintures-mères de 1500 plantes, qualifiant la « Médecine Affective » de tautologie (une phrase ou un effet de style ainsi tourné que sa formulation ne puisse être que vraie) parce qu’elle a confondu médecine des affections et médecine des affects.  

« J’en ai assez de voir l’affectif trainé dans la boue par des médecins et des philosophes qui ne voient pas les risques d’un intellect calculateur et hyperlogique, essayant d’étouffer le sentiment – l’élément perturbateur. L’âme est dans le sang. »

Bernard VIAL

En médecine, toutes les pathologies sont des affections, c’est à dire un processus morbide dans ses manifestations, signes et symptômes. Aigües ou chroniques, ce sont des anomalies, des dysfonctionnements, des lésions, des maladies. Le mot affection a pourtant une deuxième définition : attachement, tendresse. « L’amour n’est pas loin, mais on dirait que ce mot n’existe pas! », souligne le Dr VIAL. Les dictionnaires Larousse et Robert ne sont d’ailleurs pas d’accord sur la définition du mot affectif. La Science Affective le définit par : toutes les facettes de l’amour. C’est une science bien vivante, qui intègre les progrès de l’informatique appliqués à la médecine et les enquêtes précises pour découvrir les conflits affectifs responsables des maladies. On ne parle plus de « grande » ou de « petite » maladie, on les traite a égalité grâce à leur rapport individuel à l’affectif.

Cette méthode de biologie informatisée a aussi un autre « inconvénient » : elle ne coûte pas grand chose. Les médecins généralistes qui, à l’époque, s’étaient lancés dans la nouveauté – concurrentielle des spécialistes – ont été accusés d’escroquerie par un expert académicien titulaire de la Chaire de Biochimie de l’Hôpital St-Antoine à Paris. Ce dernier aurait toutefois confié à Bernard VIAL ne pas avoir testé la méthode, considérant que l’expérience de milliers de généralistes ne pouvait être comparable à la recherche de pointe publiée dans les revues anglo-saxonnes (laquelle était promise à un grand avenir pour l’industrie pharmaceutique). 

Les chercheurs sont dans les capitales : impossible de leur faire comprendre que le cerveau n’est qu’un écran à pixels pour l’affichage conscient, un serveur dont la puissance est celle des représentations. »

Bernard VIAL

En 2005, le « Centre Suisse en Sciences Affectives » est créé à l’Université de Genève. En France, l’INSERM lance – avec 30 ans de retard – une recherche sur les neurosciences affectives. La fabuleuse histoire de la Médecine Affective a été présentée dans des forums et séminaires… Bernard VIAL est intervenu dans l’émission TV de Jean-Luc DELARUE « Ça se discute »,  BTLV, et d’autres médias… De nombreux articles ont été publiés dans des revues homéopathiques et des journaux de médecine alternative… Comment attirer l’attention sur des hypothèses sans blesser, en tenant du concept à la mode : celui du bénéfice-risque? L’affectif reste un sujet brûlant, parfois même un peu suspect. Ses détracteurs se cantonnent dans le cognitif, la pensée et la conscience, mais ils ressentent soudainement des lacunes et font appel à l’énergétique pour tenter de comprendre les « mouvements d’humeur »

Le « Dictionnaire Affectif des Maladies » de Bernard VIAL (Association PMSA) paraît après 40 années d’observations cliniques, de références bibliographiques et de suivi des progrès des analyses biologique du plasma sanguin métamorphosé par l’informatique. L’édition 2021 comprend 400 rubriques visant à définir l’âme malade (disponible auprès de l’association française PMSA : contact). Aujourd’hui les différents ouvrages de Bernard VIAL (cf biographie) publiés dans différentes maisons d’édition servent de référence dans la pratique de nombreux médecins. Une ministre de la santé a par ailleurs qualifié la Médecine Affective de « Science Humaniste ».

« Faut-il dynamiter la médecine pour un peu plus d’affectif? Faut-il modifier les paradigmes et faire un saut quantique? Le crime n’était donc pas punissable, et la charge explosive est désamorcée.
Un médecin généraliste ne s’attache qu’à la pure et simple expérience clinique et à la transmission de la nouveauté (code de déontologie). »
Bernard VIAL

Mercredi 30 juin 2021 à 19h de Paris / 13h du Québec
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