Journal d’une Régénérée . I

22 Juin 2023 – J’ai trouvé ce nom amusant lorsqu’il m’est venu, « Journal d’une Régénérée ». A travers cette page et celles qui suivront, vous pourrez suivre mon expérience personnelle ASEA dont je témoigne en toute transparence. Ces produits incomparables sont issus des dernières prouesses scientifiques sur les molécules de signalisation redox, dont dépendent tous nos processus cellulaires vitaux [Informations officielles en page ASEA dans le menu principal du site]. Je me dévoile un peu pour vous communiquer mon engouement pour cette biotechnologie, et l’espoir que cela représente à mes yeux pour tout un chacun. Dans un contexte hyper polluant, c’est une solution pour Se retrouver bien dans notre corps physique. Nous n’en avons qu’un…et beaucoup d’événements à vivre !
J’ai débuté ma cure ASEA Redox le 11 avril. Et si je m’en souviens, ce n’est pas seulement parce que mon chat s’est fait castrer ce jour là…

COMMENT ASEA EST ENTRÉ DANS MA VIE

Dans mon entourage, une infirmière et thérapeute observait depuis quelques temps les mêmes symptômes récurrents chez ses patients, qu’elle attribue principalement à un phénomène de « densification » de la lymphe, occasionnant : difficulté à éliminer les toxines, inflammations diverses, dérèglements hormonaux, prise de poids, tissus congestionnés, problèmes digestifs… Une amie lui a fait connaître le supplément ASEA Redox, par lequel cette soignante holistique a trouvé une façon concrète d’accélérer la « dissolution de la colle » dans le corps (pour donner une image simple). C’est dans son cabinet que j’ai entendu pour la première fois le nom : ASEA.

J’ai « surfé » sur internet pour en savoir plus sur ce produit détoxifiant et régénérant, mais je ne comprenais pas comment me le procurer. C’est là qu’est intervenu mon Parrain (Associé ASEA), un acteur indispensable pour passer commande…et tant mieux ! Car mes échanges avec lui m’ont apporté des informations très claires qui m’ont convaincue de faire une cure. Figure de proue dans l’océan ASEA, ce Parrain reste un soutien et un guide fiable pour l’Associé Indépendant (c’est le terme officiel, même si je lui préfère Affilié) que je suis devenue. Et si je n’ai opposé aucune résistance à essayer personnellement le produit, j’ai mis mon Parrain à l’épreuve en le bombardant de questions avant de communiquer publiquement !

UN PEU DE POTION D’ASTÉRIX ?

A réception de mon colis j’étais excitée, sincèrement. Je n’éprouvais aucune crainte, juste envie d’en faire l’expérience. J’avais besoin de traduire cette « promesse théorique » dans ma réalité corporelle (je suis du signe du Taureau…). D’ailleurs, on ne peut pas parler de « promesse » car l’action d’ASEA Redox, bien qu’effective, est non ciblée. Nous ne réagissons pas tous de la même façon, biologiquement. Il m’est arrivé de tester de nombreux produits naturels, recommandés par des personnes de confiance, certains même vendus en pharmacie, sans que je ne ressente de résultat probant. Je ne pense donc pas être un bon sujet pour l’effet placebo. Si mon esprit est ouvert, cela n’entraîne pas nécessairement une validation de ma part.

Livrées à domicile en trois jours ouvrés dans un carton bien solide, les bouteilles bleues d’ASEA Redox sont fournies avec un « shooter à mesurer » en plastique (on se fait un Aseapéro?!). Bien que la dose recommandée soit de 2 x 60ml / jour, j’ai commencé par 10ml. Mon premier ressenti a été « vibratoire » : une vague de frissons a traversé mon corps, comme si j’augmentais ma fréquence. J’ai gardé l’expression de ma soeur « Tu as pris de la potion d’Astérix? » 🙂 La texture est identique à l’eau, et le goût est légèrement chloré (sans chlore), mais ce n’est que passager : explication en page ASEA. En milieu d’après-midi j’ai pris le même volume en guise de seconde dose journalière. J’avais l’impression d’être montée dans une fusée. Je me sentais plus « vive », plus réveillée. Et le soir, j’ai dormi comme un loir.

Pour être efficace, la prise de ce supplément doit être éloignée d’au moins 10 minutes de toute nourriture, boissons, et brossage de dents. Il ne doit surtout pas être dilué (même dans de l’eau). Ne pas boire à la bouteille ni remettre à l’intérieur un éventuel excédant, pour éviter de contaminer le produit (mettez-le sur la peau dans ce cas pour ne pas le perdre). Il n’est pas nécessaire de le conserver au frais (je ne trouve pas que cela améliore le goût, comme certains disent). Je laisse la bouteille à température ambiante dans la cuisine, à consommer maximum 1 mois après ouverture. Et elle est déjà protégée de la lumière par son emballage bleu. Voir les conseils d’utilisation.

LES PREMIERS JOURS

Le 2ème jour, j’ai doublé ma dose initiale (2 x 20ml). Mes impressions se confirmaient : plus d’élan, comme si on m’avait remis les surrénales à niveau en passant à la station service 🙂 Je ressentais l’envie d’être active, même cérébralement. Les créatifs vont adorer ! Dans le même temps, il y avait une légère tension, comme si j’avais bu trop de café, et les cernes devenaient plus marquées sous mes yeux. Comment était-ce possible? Détox! – « Élémentaire, mon cher Watson ». Alors que certains bénéfices sont visibles dès le départ, dans le même temps, le corps commence par vider ses poubelles… Et malgré tout, j’ai bien dormi !

Au 3ème jour, j’ai conservé ce tonus, cette clarté d’esprit, cette envie d’entreprendre, mais sans les désagréments de la détox des deux premiers jours. Que dis-je…? Les désagréments sont quasiment nuls en comparaison avec d’autres produits naturels que j’ai pu utiliser en ce sens (comme la sève de bouleau, par exemple) qui me donnaient systématiquement des désordres intestinaux et des plaques de boutons. Je pense que la détox se poursuit au-delà des tous premiers jours, mais sans être perceptible.
J’ai augmenté la dose de jour en jour, jusqu’à atteindre les 2 x 60 ml / jour recommandés.

Dès les premières semaines, j’ai remarqué :
– Une nette amélioration des fonctions digestives. Je suis sujette à la porosité intestinale, et je digère beaucoup mieux dans l’ensemble, c’est une tranquillité d’esprit.
– Une baisse indubitable des inflammations ! C’était devenu presque chronique depuis le c0w*d, avec une tendance à la congestion ovarienne. Du coup, mes cycles sont plus réguliers aussi.
– Et ce n’est pas tout…les jambes lourdes c’est presque un mauvais souvenir ! Je sens que ma lymphe circule mieux.
– Le soutien énergétique est indéniable. C’est un regain de vitalité en ce qui me concerne, pas de nervosité. Je dispose de plus d’énergie pour mener à bien ma journée. Je me sens enjouée, et plus à même de faire face à tout ce qui pourrait faire « baisser ma jauge ». Il m’arrive souvent d’avoir envie de faire de la gym juste après avoir pris une dose. Le besoin d’utiliser ce potentiel d’action est parfois très palpable. En tous cas rassurez-vous, on ne devient pas un cyborg ! Il m’arrive encore d’être fatiguée par moments, et sauf pleine lune / problème personnel / ou rêve lucide, je dors très bien !

Depuis que j’ai intégré ASEA Redox à mon quotidien, je me sens comme avec du sang neuf.

Estelle G.
BILAN A 2 MOIS

La satisfaction est au rendez-vous, alors que je ne prends la dose recommandée (120 ml/jour) que depuis un mois et demi, finalement. Depuis que j’ai intégré ASEA Redox à mon quotidien, je me sens comme si j’avais du sang neuf. L’image est assez réaliste en fait, puisqu’il ne contient rien d’étranger à notre corps. Ce produit ne nous empêche pas de vivre ou d’être affectés par des choses difficiles, mais on rebondit beaucoup plus vite !

Je mets aussi quelques gouttes d’ASEA Redox dans les yeux avec une pipette, car je travaille toute la journée sur l’ordinateur et ils sont mis à rude épreuve. (Si vous utilisez un petit flacon en verre teinté avec un spray pour en mettre dans les yeux, assurez-vous de ne pas avoir mis de cosmétiques sur le contour de l’oeil avant, sinon ça pique, et c’est encore pire avec la crème solaire!). En cas de nez bouché, on peut en mettre aussi dans les narines. Enfin, j’en vaporise parfois à la racine des cheveux… Mon chat Roméo n’est pas épargné non plus 🙂

J’ai constaté avec surprise qu’un produit inoffensif qui nous aide vraiment à aller mieux, eh bien…ça peut faire peur. Le discernement et la réflexion ont leur utilité. Mais il y a aussi notre blessure de trahison qui s’invite : « Ça doit cacher quelque chose… ». On est tellement habitués à se résigner face au manque d’authenticité du monde, qu’on se met tout seul des bâtons dans les roues. « Une bonne nouvelle, c’est dangereux ! » 🙂

~ Une amie m’a dit : « Je ne suis pas sûre d’avoir la volonté d’en prendre tous les jours ».
Ce à quoi j’ai répondu : « Si ça te fait du bien tu n’auras pas envie de l’oublier. Il n’y a donc aucun effort à faire. »

~ Un membre de ma famille m’a dit : « Je ne vais quand même pas devenir dépendante d’un produit !? ».
Je lui ai répondu : « Qui parle de dépendance ? C’est une opportunité. Toute la dégénérescence que tu auras évitée et tout ce que tu auras régénéré pendant le temps que tu souhaites te supplémenter en molécules redox, c’est gagné ! Il n’y aucun engagement, sinon celui que tu établis avec toi-même. »

ASEA Redox redonne « L’envie d’avoir envie ».

Estelle G. (& Johnny H.)
PAS DE MAGIE, MAIS DE LA SCIENCE

Dans notre réalité actuelle où tout s’accélère, nombreux sont ceux qui attendent de se faire prendre en charge par le Messie, en oubliant qu’il est aussi en nous et que nous sommes incarnés pour le manifester… Ce que j’essaie de vous dire par là, c’est que même si les produits ASEA peuvent avoir des effets spectaculaires chez certains et changer la vie (en mieux), attendre un « coup de baguette magique » serait une posture puérile. Mieux vaut faire confiance au processus et observer. Car notre corps va utiliser cette clé de santé avec son intelligence naturelle, indépendamment de nos attentes personnelles.

ASEA Redox n’est pas comparable à ce qui nous est le plus souvent proposé pour « aller mieux », soit un produit chimique qui met fin rapidement (et temporairement) à des symptômes, avec une liste d’effets indésirables qui vont jusqu’au risque de mort, mais qu’on a collectivement accepté. ASEA Redox agit au niveau cellulaire, est natif, non-toxique et sans contre-indications. Par conséquent, il respecte le corps, et met à sa disposition la quantité de molécules redox manquante pour se maintenir en bon état. Notre organisme utilise ce supplément selon ses priorités, suivant le rythme de renouvellement de nos cellules. C’est pourquoi la durée de cure recommandée est de 3 mois minimum. Que l’on en soit conscient ou non, dès la première prise, la réparation cellulaire est en marche.

J’attire toutefois l’attention sur l’importance de garder une bonne hygiène de vie, de ne pas utiliser cette solution comme une béquille. Ce serait se priver de bienfaits cumulatifs. Notre cheminement personnel n’est pas interchangeable avec un produit, quel qu’il soit 🙂

L’EXPÉRIENCE NE FAIT QUE COMMENCER…

Je ne vous ai pas encore parlé que de ce que je mets sur la peau. C’est notre plus grand organe et aussi le plus visible. J’aime l’idée d’agir de l’intérieur et de compléter avec une action externe. Mon intérêt pour les cosmétiques remontent à l’adolescence : mes petits boulots de jeunesse servaient notamment à recevoir des colis de produits dans ma boite aux lettres 🙂 Je vais donc prochainement vous donner mon avis sur le Gel RENU28, que je viens de recommander en plus de mon abonnement mensuel, car j’avais commencé à l’appliquer sur le visage et le décolleté, mais j’allonge maintenant jusqu’aux pieds ! En plus je le trouve rafraîchissant en été…

Merci de m’avoir lue. J’ai pris la journée pour vous en parler !
N’hésitez pas à laisser un commentaire sur cet article et/ou liker.
A bientôt pour la suite…

Estelle.

FEUILLETER TOUT LE « JOURNAL D’UNE RÉGÉNÉRÉE »

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