L’EAU, un vecteur de guérison ? – Arnaud COLOMBIER

« Je rencontre parfois des personnes qui me disent, tout fiers « J’ai ou je fais de l’eau informée » et je leur demande : « informée avec quelle information? ». Le silence s’installe car elles n’ont aucune réponse à apporter si ce n’est de décrire le processus qu’elles ont utilisé mais qui n’apporte pas de réponse sur le type d’information inscrite dans l’eau. Cela revient à dire : « au kiosque à journaux j’ai acheté un papier informé ». Ce qu’on peut appeler un journal ou une revue. Mais la dénomination « papier informé » ne précise pas le type… Lire la Suite

Rapprocher la science officielle et les sciences extranormales – Arnaud COLOMBIER

« Le jour où les scientifiques et médecins accepteront les praticiens des sciences extranormales et travailleront avec eux, la recherche avancera très vite. Les moyens d’investigation des médiums sont bien plus puissants que le meilleur des scanners ou le plus précis des appareils IRM, à condition de poser les bonnes questions…

La Médecine Affective – Dr Bernard VIAL

Médecin généraliste, ancien chef de clinique du CHU de Montpellier (France), Bernard VIAL utilise depuis 40 ans le « profil protéique informatisé » : un examen biologique permettant de diagnostiquer objectivement les conflits affectifs humains à l’origine de pathologies. Issue d’une recherche scientifique menée à Lyon au début des années 1980′ (C.E.I.A), la « Médecine Affective » consiste à mettre en correspondance ces conflits avec des remèdes issus des 3 règnes : végétal, minéral, animal. Il est donc possible d’établir un portrait de l’humeur grâce aux images de synthèse des protéines contenues dans le plasma sanguin…. Lire la Suite

Les causes profondes de la maladie mentale – Stéphane ALLIX

« La majorité des psychiatres que j’ai questionnés sur la distinction qu’ils faisaient entre folie et perceptions extra-ordinaires m’ont touché par l’honnêteté de leur réponse. Aucun de m’a affirmé que ce que voyaient les fous n’existait pas. Mais tous ajoutaient immédiatement que pour un psychiatre, ce questionnement autour de la réalité ou de l’irréalité des expériences rapportées par leur patient était au final très secondaire :