Bio-photons : la lumière de nos cellules – Arnaud COLOMBIER
« C’est le chercheur Fritz-Albert POPP qui a mis en évidence l’existence des bio-photons. Il a observé une émission lumineuse à la surface des tissus vivants. Il a quantifié cette énergie qui est de l’ordre de 10 à 1000 photons par cm2 et par seconde. Les bio-photons sont le résultat de réactions enzymatiques. En plus d’être une libération d’énergie par la cellule, il est possible que ce soit un moyen de communication avec les cellules voisines.
Une application des bio-photons à haute intensité lumineuse est faite par les lucioles et les animaux émetteurs de lumière pour attirer le mâle ou les proies à manger. Est-ce de vrais bio-photons? Probablement car ils sont issus de la réaction d’une enzyme, la luciférine qui se transforme en luciférase par réaction avec l’oxygène. L’atome de luciférase étant instable, retourne à l’état luciférine en émettant un photon lumineux. La puissance lumineuse émise est importante. Ce phénomène est appelé la bioluminescence.
On peut se poser quelques questions sur les bio-photons : La cellule émet-elle sur toute sa surface? Car les bio-photons que l’on mesure viennent des cellules et s’échappent vers l’extérieur. Est-ce une communication que pour les cellules voisines ou une émission de message vers des organismes totalement externes au corps? Comment ces messages reçus par les cellules sont-ils analysés? Les bio-photons ont été découverts grâce au progrès de la technologie. Les appareils de mesure actuels ont une sensibilité immense, permettant de détecter l’énergie d’un photon.
L’émission de bio-photons par les cellules est un signe de bonne santé. Elles reçoivent de l’énergie cinétique chimique par le corps et éliminent le trop-plein d’énergie par les bio-photons après des transformations électro-bio-chimiques. Le système est régulé de façon prodigieuse puisque les bio-photons émis sont d’énergie variable que l’on évalue par leur longueur d’onde (couleur). Si le photon est de longueur d’onde rouge il est de basse énergie. Si la longueur d’onde est dans le violet, il est de haute énergie. Cela permet de faire une bio-photongraphie du corps (différente de la thermographie liée à la température), donnant accès à des indications sur l’activité normale, faible ou exagérée des cellules et donc des organes.
Les mystiques pensent que cette bio-photongraphie visualise l’Aura qui serait le reflet de l’âme. Je pense que cette interprétation est très largement exagérée. Qui voit les bio-photons? Des personnes dont la sensibilité de l’oeil et le traitement de l’image sont augmentés, peut-être par une stimulation de la glande pinéale. Ce que les Lamas tibétains appellent la vision du troisième oeil. Nous avons tous cette vision du troisième oeil mais elle n’est plus consciente. Les artistes des temps anciens l’avaient probablement.
Tous les êtres vivants de la nature génèrent des bio-photons : les animaux, les plantes, etc. Une vue bio-photonique du corps permet de se rendre compte de l’activité fine des organes et détecter ceux qui seraient sains et ceux qui auraient des dysfonctionnements. Lorsque l’animal ou l’entité vivante meurt, l’émission de bio-photons diminue et finit par cesser totalement. Ceci montre que cet effet est lié au métabolisme de l’entité vivante. »
Arnaud COLOMBIER, Physicien français.
Extrait de son livre « Science et guérisseur »
+33 (0)7.84.19.17.46
SUNEVA 
Magnifique article éclairant l’importance des biophotons !
Merci à l’auteur pour le partage de ces connaissance, il est temps.
Et merci à Estelle pour la diffusion de cette information.
Soyez en remerciés
Mari Carmen Gallardo fondatrice à Matrice de Vie
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